Pas besoin d’être allongé ni de « dormir » pour que l’hypnose soit efficace.
En sport, elle s’intègre très naturellement à la pratique : souvent les yeux fermés, parfois en mouvement, toujours tournée vers un objectif clair.
L’idée ?
Plonger dans un état de concentration modifiée, dans lequel le corps et le mental peuvent collaborer plus finement.
C’est là qu’on peut :
– Visualiser un geste technique de manière précise
– Travailler la confiance, l’élan, la fluidité
– Apaiser le stress avant une compétition
– Ou encore, se reconnecter à la motivation profonde
Les grimpeurs, par exemple, visualisent leur voie plusieurs fois avant même de poser un pied sur la paroi.
Les skieurs descendent la piste… mentalement, virage après virage, en ressentant chaque appui, chaque trajectoire.
C’est déjà une forme d’auto-hypnose.
On s’entraîne… de l’intérieur.
En cabinet, on peut aller plus loin : ancrer des états internes utiles (calme, concentration, combativité), revivre en imagination des situations pour les transformer, intégrer des routines mentales avant l’effort, ou encore débloquer des freins inconscients liés à la peur ou à l’échec.
L’hypnose, c’est ça : un moyen d’activer pleinement ses ressources internes, au service du mouvement.
Curieux.se d’essayer ? Parlons-en.